Cet article vise à évaluer les apports et limites respectifs de trois démarches historiographiques – histoire comparée, « connectée », généralisations – pour mon projet de thèse sur l’histoire de la modernité publicitaire en Chine (plus précisément Shanghai du milieu du XIXe au milieu du XXe siècle) qui développe une double démarche comparative entre trois produits « modernes » (médicaments, cigarettes, sodas) et plusieurs pays ou compagnies productrices : chinoises et « occidentales » (principales puissances coloniales présentes) – essentiellement américaines ou états-uniennes – Coca-Cola par exemple – britanniques et françaises.
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